J'entre dans ce village...

Depuis tout le temps que je me souviens, je voyageais toujours ainsi, sans but dévoiler. J'ai parcouru montagnes, déserts, vallées, plaines, et maintenant océan. Je part sur cette vaste étendus bleu qui n'en fini plus, laissant mon canot dériver où le vent le mènera. Je vît de nombreux soleils apparaître dans l'est de ce voile humide et lisse pour finalement être dévoré dans l'antre ouest de cette mer éternel.

Je dors maintenant au chaud dans ma couverture accueillante. Je me sens bien, je me sens libre. J'ai réussi à survivre dans ce monde sauvage et agiter. Mais ce soir, je n'arrive pas à dormir. Je suis étendu, et laisse douce vague de cette saison me bercer dans mon berceau flottant. Les étoiles sont belles. Je me demande ce qu'elles font là-haut, à nous regarder tous, paisiblement et sans rien changer. Ce sera bientôt le matin, il me reste 1 poisson d'hier. Il me servira à en pêcher un plus gros. L'océan grouille de petites et grosses bêtes, qui glisse dans les cieux sous-marins, sans comprendre pourquoi ils continuent, sans savoir pourquoi ils sont. Je suis comme eux, glissant au-dessus eux, et ne sachant pas où je vais.

Les étoiles commence à disparaître dans un ciel qui rejette de plus en plus les ténèbres. Je me lève. Une ligne rougeâtre est apparût devant moi. Cette ligne signal le retour du soleil. Je continue ma route vers cette astre mystérieux qui donne vie aux plantes. C'est le matin, la froidure est partiellement dissipé. Je sens la chaleur réconfortante du soleil pénétré ma peau. Je me demande s'il a déjà existé un peuple qui, une fois le soir venu, avait peur que le soleil ne revienne plus. Cette chaleureuse présence qui embelli nos vies reviendra-t-elle après chaque adieux? Qu'adviendrait-il si le soleil ne se présente plus, fatiguer de ce lever chaque matin? Cette idée me donna un frisson dans le dos.

Je navigua encore trois jours et trois nuits, seul sur cette mer infinie. Au quatrième, une terre ce dessina devant moi. Par sa forme arrondie, je devina que c'était une île gigantesque. Mon canot frotta le rivage sablonneux et je mis le pied à terre. Je fît un petit tour. Cette île était magnifique. L'air était pur et chaude, le vent soufflait une délicieuse brise qui glissait sur mon torse et autour de mon cou. Je me sentais bien ici. Je retourna au canot, fît 3 fois la longueur de la plage, et constata qu'il n'y était plus. Pas grave, je pouvais vivre sans. Tout ce qui importait, c'était mon épée. Grosse et lourde, elle avait longtemps parcouru les même chemins que moi en laissant un sillon dans la terre, traçant mon passage dans ce vaste monde. Jusqu'au jour où je devins assez fort pour la porter au-dessus du sol. Seul héritage de mon passé inconnu, j'y pris grand soin au fil des années. Avec un entraînement solitaire, je devins digne de la porté. Jusqu'aujourd'hui, je ne connaissais aucun épéiste capable de me vaincre. Peut-être cela changera-t-il demain? Nul ne le savais...

Je parcouru une bonne distance dans cette bel forêt riche et feuillu, mais devant moi apparût des formes familières. Des toitures ce dessinèrent derrière la végétation luxuriante, puis les abris entiers. Je sortis de mes fougères et atterris au beau milieu d'un village. C'était un bel endroit. Les vivants étaient de bonne humeur, l'air était tout aussi pur que par-dehors des rivages. Je croisa plusieurs villageois qui me firent un signe de la mains en souriant. J'étais bien dans ce lieux, encore plus que dans la forêt. Les chaleureuses chaumières étaient resplendissantes. Toujours devant, il y avait quelque chose d'agréable à contempler. Un homme bien habillé passa à côté de moi.

- Excusez-moi mon bon monsieur, pouvez-vous me dire ce que c'est?

Je pointa du doigt le sujet de ma contemplation. Le jeune homme ce retourna et me réponda en souriant:

- Ça fait plaisir de voir des nouveaux visages. Cette construction est là où réside le Mizukage.

Mes yeux devinrent alors rond et figé, comme si mon esprit aurait été pris d'un stupeur immense. Mon interlocuteur ria devant mon innocence.

- Haha, vous êtes entré à Kiri sans même le savoir? Et bien... bienvenue.

Puis il s'en allant, ne lâchant pas une seconde son sourire accueillant. Alors j'étais à Kiri, un des principaux village caché. On m'avais raconté beaucoup de chose sur ces villages. D'une part, très peu de personne n'étant pas du même pays qu'un village caché connaissait leur emplacements, et même quand leur pays avait ce luxe, personne ou presque ne connaissait l'emplacement de TOUT les villages. Ces lieux était légendaires. D'autre par, on y dit que les gens qui y résidait connaissait les mystères du pouvoir, pouvoir qui est caché en nous. Je ne savais rien d'autre sur ces villages. Être dans un tel lieux me surprenait beaucoup. J'avais l'impression d'être un étranger dans un univers qui me dépassait. Mais il y avait quelques chose d'autre... ce monde m'attirait. Je voulais savoir de quoi il en était. Les villages cachés existaient bel et bien, et j'en étais fasciné. Mon corps fût parcouru d'un frisson de bonheur. Je sentais que ce lieux avait quelques chose d'important, plus important que tout les autres lieux que j'avais visité avant. Le monde semblais être joyeux en vivant ici, alors pourquoi pas moi?

Je me dirigea droit devant, vers la tour du Mizukage. Qui était-ce? J'en avais entendu que par chanson... C'était lors de mon escale dans un petit village caché dans les rosiers les plus gros que je n'avais jamais vue. Un troubadour qui prétendais avoir fait le tour du monde chantait une chanson vantait la force des kages. Elle disait qu'un kage était si puissant, qu'il pouvait à lui seul rasé un village entier sans le moindre effort. Bon... il exagérais sûrement, comme le fond la plupart des troubadours. Mais néanmoins, il fallait avoué que les kages était connu pour leur force surhumaine. J'étais à coup un peu moins sur de vouloir le rencontré... que suis-je devant une tel force? Est-ce que le Mizukage m'acceptera? Ma force insignifiante lui donnera probablement une seul envie: s'amuser avec moi. J'eux la vision d'un homme riant de me voir tombé, la gorge ensanglanté, à ses pieds, et rester inanimé. Ce serais trop bête de finir ma vie de cette façon? Que faire? J'étais à présent arrêter au beau milieu de la rue... je voulais vivre, pas question de risquer ma précieuse vie ici, même si je me sens bien. C'est alors qu'un souvenir affreux me revint. Je n'avais plus de canot. Comment je ferais pour quitter cette île? Ce qui me semblais être un affectueux village me paraissait maintenant comme l'apothéose des lieux à redouter.

Mon instinct m'avais vraiment trompé, jamais je n'aurais dû aller sur cette île de malheur. Que vais-je faire maintenant? La seul solution qui ce présenta devant moi était de prendre le risque d'aller voir le Mizukage. Je commencerais par lui demander de me donner un canot. Après tout... il ne doit pas être si cruel, ses sujets semble si heureux de vivre ici... je continua ma route et arriva devant la bâtisse. Elle était sombre, repoussante, et me faisait redouter le pire. Un homme en uniforme m'interpella.

- Éh toi! Que fais-tu?

- Je vais voir le Mizukage....

- Très bien je t'accompagne.

La rudesse de l'homme me fît froid dans le dos. Qu'adviendrait-il de moi? Je fût tenter de faire marche-arrière, mais serais-ce bien vue? Je passerais pour suspect si je fais ça... j'entrais donc dans un bureau. Bien qu'elle avait son charme, la pièce était loin d'être le trône du dictateur à lequel je m'attendais. L'homme devant moi ne semblait pas sur-puissant non-plus. Mes aspirations me semblèrent alors moins hors-de-porté. Le mizukage me fît signe de parler, et j'obéis aussitôt.

- Désoler de vous importuner... je vais essayé de faire vite.

Les mots que je prononça ensuite découlèrent très vite, et laissait facilement paraître mon stress.

- Je suis MakeoShimi, je suis arrivé ce matin sur cette île à l'aide de mon canot. Seulement, je l'ai perdu. Je n'accuse personne de votre village, c'est sûrement moi qui n'a mal amarré. Seulement, je ne peux plus retourné en mer à présent. J'espérais donc que vous voudriez bien m'en donner un. J'ai un peu d'argent sur moi... 125 Ryos en fait. Je sais que c'est très peu pour un canot, et si vous refusiez de m'en donné un pour aussi peu, je comprendrais.

Le jeune homme qui se dressé devant le mizukage, étai costaud fort plein de vie , c’est habille était rempli de boue et mouillé en pouvait déduire qu’il avait fait un long voyage avant d’arrivé aux village caché de la pluie , les quelque blessure et cicatrice qu’un pouvait voir sur son corp nous montré qu’il avait passé des moment difficile dans ca vie

Après avoir entendu ce que le jeune homme avait a dire avait a dire j’ais sue ,qu’il n’avait aucune mauvaise intention enverre le village c’était qu’un jeune voyageur qui erré librement sur terre et mer , fatigué par son long voyage il voulait juste ce reposé ,perdu dans le vaste grandeur de l’océan , il avait tombé sur notre village par hasard ,alor le mizukage regarda les 2 garde en leur faisons signe de tête pour le lâché ensuite je leur demandé de lui apporté a mangé , car en voyant les trait noir qui était sous c’est yeux en pouvait déduire qu’il avait faim

Ensuite un paisible sourire ce dessina sur le visage du mizukage , pour rassuré le jeune homme qu’il n’avait rien a craindre , tant qu’il na aucune mauvaise intention enverre le village et il était juste égaré ensuite mehdi dit

Dit moi ca t’intéresse de rejoindre le village caché de la pluie ?

D’après ce que tu a dit, j’ai comprit que tu erré dans la mer sans aucun but , jusqu'à aujourd’hui ou tu a tombé sur le ville kiri, c’est peut être , ton destin qui ta amené jusqu'à nous pour que tu rejoint le rang des ninjas de kiri.

Le mizukage regardait le jeune homme qui réfléchissait a ca proposition en attendent ca réponse , ensuite le mizukage balança un formulaire devant le bureaux en direction de makeo pour lui montré le formulaire qu’il doit remplir pour qu’il devient un ninja de kiri et dit

Code:

nom :
prénom :
But dans la vie :
Pourquoi ce village :

Ta juste a remplir ce formulaire , et tu sera un ninja officiel de kiri

Le mizukage me donna le formulaire. L'endroit était redevenu accueillent de puis tout à l'heure. Mon estomac était bien rempli et mon esprit planait sereinement devant cet homme sympathique. Au travers des grandes fenêtres, on pouvais contempler le bleu du ciel et de la mer qui ce rejoignait loin à l'horizon. Je surpris un oiseau perché sur le bord de la fenêtre, qui s'en alla aussitôt ce perdre aux côté du géant bleu et sans nuage. Je commanda à mon esprit d'arrêter de rêvasser et de porter attention au choix que j'effectuerais.

Il n'y avait plus aucune pression sur mes épaules. D'une part, le Mizukage m'avait lui-même fait la requête d'habiter cette île plaisante, et d'autre part, il semblait suffisamment pacifique, et me laisserait sûrement partir si je lui en faisait la requête. Je retrouvais ma liberté de toujours. Cette liberté même qui m'acheminais de par le monde, et qui m'avait fait atterrir ici, dans ce village. Ce lieu m'avait séduit dès le premiers instant, mais ceci n'était pas rare. Souvent j'étais arrivé dans une contré inconnue et m'était émerveillé de sa splendeur. Cependant, ces endroits sauvages n'était pas comparable à ce village. Je me souvint que, dans le passé, toutes les viles et villages que j'avais visité ne m'avais inspirer que du dégoût et du mépris. Ce n'était pas le cas pour Kiri.

Ma mains s'étira jusqu'au dessus du bureau. Je pris le stylo qui signera le revirement de ma vie.

Code:: nom :
prénom :

Les deux première ligne me semblèrent particulièrement difficile. Non que je ne savais pas écrire, car c'est d'une jeune femme que j'avais acquis ce dont, histoire trop longue pour y rêvasser maintenant, mais mon nom était superflux. Je m'était auto-désigner par Makeo Shimi, qui veux dire "mauvais perdant", car la seul chose que j'avais à perdre était ma vie, et que je ne pardonnerais jamais à quiconque me la volera. Les premières lignes était dur car je n'avais jamais révélé mon nom à personne. J'avais toujours inventé des faux-noms sur demande quand le besoin se présentais. Vais-je répété la même chose? Mon cœur n'éprouvais aucune méfiance face à ce formulaire, alors je décida de l'écouter. Je repris la poigne du stylo.

Code:: nom : Shimi
prénom : Makeo
But dans la vie : Vivre
Pourquoi ce village : Parce qu'il me plaît.

J'avais répondu le plus honnêtement possible, n'étant pas le genre à inventer quoique ce sois sans en avoir de bonne raison juste de le faire. Je remis le formulaire au Mizukage.

- Voilà, puisque vous vous êtes montré si aimable avec moi, j'ai décider de rester. Maintenant que vous avez accès à mon nom, est-ce qu'il pourrait en être de même pour le vôtre?

le mizkage prend le formulaire , le regarde et commence par le lire tout en l'entendent ce qu'il avait a dire

Code:: nom : Shimi
prénom : Makeo
But dans la vie : Vivre
Pourquoi ce village : Parce qu'il me plaît.

après avoir lis le formulaire le mizukage et lui répond

oui j'ai oublié de me présenté , je me nomme Ultime Mehdi le mizukage de kiri

ensuite mehdi chercha un formulaire dans le bureaux ,après quelque minute il il sort une photo du dossier et la mentra a makeo

il se nome hamano kaito c'est un bon ninja, mais c'est temps si il est en mission alor je peut rien te dire , il va être ton nouveaux coéquipier en attendent son retour tu peut te baladé librement dans kiri , car maintenant kiri et devenu officielement ton village

ensuite mehdi sort un bandeaux de village de kiri de son bureaux ,et lança en direction de makeo qu'il l'attrapa

prend ce bandeaux , quand les gens vont regardé le bandeaux de ninja kiri , ils vont savoir que tu appartient aux village , et tu n'aura aucun probléme avec eux

- Merci bien pour ce présent.

Je pris le bandeau. Où vais-je le mettre? Je le mis d'abord sur ma tête mais fût vite agacé de sentir ce cerceau de tissu et de métal emprisonné mes cheveux. Je le mis donc autour de mon bras, près de l'épaule, comme un brassard. L'endroit était convenable, car quand je portera ma lame, le brassard suivra le mouvement de mon épée, et signera mes ennemis avec mon nouvel appartenance pour ce village. Kiri aura ainsi ma force, que je jugeais comme leur étant bien plus utile que mon esprit. Mon esprit appartiendra de toute façon au monde entier, comme il en a toujours été.

Je salua le Kage et m'en alla de cette tour qui avait perdu tout aspect repoussant. Les questions filèrent dans mon esprit tel des une armada de libellules en furie. Pour me détendre un peu, je décida de visiter les lieux...